Inter Pares dénonce la crise rohingya et appelle à des mesures immédiates 11 Déc 2017 | Lire l’article
La Commission de la vérité de la Colombie entend le témoignage d’Inter Pares 26 Nov 2019 | Lire l’article
Pillage dans la forêt tropicale humide de Bornéo : une filière canadienne? 31 jan 2018 | Lire l’article
La responsabilité de nos compagnies à l'étranger, c'est une affaire de justice! 26 jan 2017 | Lire l’article
L’égalité, une solution lucide : justice fiscale, paradis fiscaux et économie mondiale 28 mai 2014 | Lire l’article
Arrêter l’imparable : résistance citoyenne à la technologie exterminatrice au Burkina Faso 4 Sep 2019 | Lire l’article
Déclaration sur les dernières violences contre la population rohingya en Birmanie 7 Sep 2017 | Lire l’article
Jusqu’à ce qu’on les retrouve : à la recherche d’êtres chers sur la route du Nord 11 Mar 2019 | Lire l’article
Le Centre des travailleurs et travailleuses immigrants reçoit le Prix Peter Gillespie pour la justice sociale 19 Avr 2018 | Lire l’article
Arrêter l’imparable : résistance citoyenne à la technologie exterminatrice au Burkina Faso 4 Sep 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
Inter Pares amorce un nouveau programme pour promouvoir la gouvernance inclusive en Birmanie 5 Fév 2016 | Lire l’article
Assétou Kafando, INADES Voix : Partager Imprimer cette page Assétou Kafando est présidente de l’association des agricultrices de la petite ville de Dedougou au Burkina Faso, en Afrique de l’Ouest. Avec les 85 autres membres de l'association, elle cultive le niébé, un aliment traditionnel qui nourrira sa famille et sa collectivité, et dont elle vendra les surplus. Le jour de notre rencontre avec Assétou dans son village, elle était en colère. Elle nous a dit qu'aucune autre agricultrice de son association n’avait réussi à joindre les deux bouts cette année. Elles croulaient sous les dettes et craignaient que leur famille n’ait pas de quoi manger. Elles avaient investi dans de coûteux engrais pour leurs cultures, mais quand est venu le temps de vendre la récolte, le prix était si bas qu’il n’en couvrait même pas les coûts. Mais Assétou a une vision d’avenir – des aliments sains et nutritifs produits de façon durable. Grâce à l’accompagnement d’INADES, un organisme membre du mouvement agricole africain COPAGEN, Assétou a pu toucher un modeste profit cette année. Ses compétences et connaissances fraîchement acquises lui ont permis de produire du compost et du fumier biologique, et d’utiliser ses propres engrais naturels pour nourrir le sol. Pour les autres agricultrices, Assétou est la preuve vivante que l’agriculture écologique est un moyen économique de cultiver des aliments et de faire vivre sa famille. INADES a aussi offert à Assétou et à ses consœurs une formation sur la façon de transformer le niébé en semoule, en farine et en pâtisserie pour accroître les débouchés commerciaux et permettre à la collectivité de se procurer des aliments nutritifs produits localement. Les membres de COPAGEN ont tiré leur inspiration d’échanges amorcés et facilités par Inter Pares entre agricultrices de l’Afrique de l’Ouest et de l’Inde. Ces échanges leur ont permis de découvrir des pratiques agricoles axées sur la biodiversité et de voir comment des groupes de femmes peuvent récupérer le contrôle de leurs terres, de leurs semences et de leurs moyens de subsistance. En savoir plus Mondialisez l'égalité, maintenant! Faire un commentaire Votre nom Comment * Sauvegarder Leave this field blank