La longue lutte de Victoria pour que justice soit rendue aux survivants de la stérilisation forcée 25 Nov 2023 | Lire l’article
Inter Pares dénonce la crise rohingya et appelle à des mesures immédiates 11 Déc 2017 | Lire l’article
Des activistes résistent à la contagion des coups d’État au Soudan et en Birmanie 9 mai 2022 | Lire l’article
La responsabilité de nos compagnies à l'étranger, c'est une affaire de justice! 26 jan 2017 | Lire l’article
L’égalité, une solution lucide : justice fiscale, paradis fiscaux et économie mondiale 28 mai 2014 | Lire l’article
Arrêter l’imparable : résistance citoyenne à la technologie exterminatrice au Burkina Faso 4 Sep 2019 | Lire l’article
Des services de santé sexuelle et reproductive novateurs en zones de conflit 18 Oct 2023 | Lire l’article
Déclaration sur les dernières violences contre la population rohingya en Birmanie 7 Sep 2017 | Lire l’article
Jusqu’à ce qu’on les retrouve : à la recherche d’êtres chers sur la route du Nord 11 Mar 2019 | Lire l’article
Le Centre des travailleurs et travailleuses immigrants reçoit le Prix Peter Gillespie pour la justice sociale 19 Avr 2018 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
40 años de acción por la justicia social: historias y lecciones en un nuevo libro de PCS 19 Fév 2019 | Lire l’article
La longue lutte de Victoria pour que justice soit rendue aux survivants de la stérilisation forcée 25 Nov 2023 | Lire l’article
Choisir est mon droit : Plaidoyer pour l'accès à l'avortement au Canada et au Salvador 31 Oct 2022 | Lire l’article
Cultiver un meilleur système alimentaire Nouvelles : Analyses 10 mai 2023 Partager Imprimer cette page Aminata Seydou Ba Crédit: Mariétou Diallo/Inter Pares L’industrie resserre son emprise sur le système alimentaire mondial. Du champ à la fourchette, cette concentration du pouvoir a des effets dévastateurs, à la fois pour les agriculteurs, les agricultrices, de même que pour les consommateurs et les consommatrices. La diversité des cultures disparaît au fur et à mesure que l’industrie consolide sa part du marché mondial et impose des semences tout usage qui exigent des engrais et des pesticides coûteux. Les sols se dégradent au fur et à mesure que ces intrants laissent leurs traces. Les grandes sociétés accaparent les terres fertiles et les petit.e.s agriculteurs et agriculrices sont relégué.e.s aux terres marginales, surtout dans le Sud mondialisé. Les ménages agricoles s’appauvrissent et les grandes sociétés s’enrichissent. Mais il y a moyen de faire autrement. À Lerabé, au Sénégal, Aminata Seydou Ba dirige un groupe de femmes appuyé par ENDA Pronat, homologue d’Inter Pares. Avec ses collègues, elle cultive de quoi nourrir la collectivité, selon des pratiques qui nourrissent la Terre et la biodiversité. « On ne peut pas juste utiliser la terre pour a ssurer notre autosuffisance. » - Aminata Seydou Ba, Responsable d’un groupe de femmes, Sénégal Il faut aussi en prendre soin, déclare Aminata. Les agricultrices comme Aminata plantent une vaste gamme de cultures, conservent les semences pour la saison suivante et sélectionnent les mieux adaptées aux conditions de leur environnement. Elles protègent la biodiversité agricole de leur ferme. Elles font de l’agroécologie — cultiver avec la nature plutôt que s’y opposer — afin de léguer des terres en santé aux générations futures. Depuis des décennies, Inter Pares collabore avec ses partenaires à la production alimentaire durable. Que ce soit avec la Deccan Development Society en Inde ou avec l’Union nationale des fermiers au Canada, Inter Pares aide des collectivités à se bâtir un système alimentaire. En plus de soutenir des pratiques agricoles novatrices et respectueuses de la Terre, cela suppose de plaider pour des politiques favorables aux petit.e.s. producteurs et productrices. En 2022, Inter Pares a commencé à poursuivre ces objectifs avec cinq nouveaux homologues et 25 000 agricultrices comme Aminata — au Burkina Faso, en Guinée-Bissau, au Sénégal et au Togo. Ce projet soutient les pratiques agroécologiques, le développement de systèmes alimentaires locaux et l’autonomisation des femmes, tout en pressant les gouvernements d’élaborer des politiques favorables au bien commun plutôt qu’au profit privé. C’est un honneur pour nous d’aider des agricultrices comme Aminata à cultiver des aliments — à leur manière. Soutenez les agricultrices comme Aminata en devenant donateur-rice mensuel dès aujourd'hui. Donation button Faire un commentaire You must have JavaScript enabled to use this form. Votre nom Comment * Sauvegarder Leave this field blank