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Défier la dichotomie : ces gens qui vont ailleurs Nouvelles : Analyses 27 Fév 2019 Partager Imprimer cette page Des réfugiés rohingyas de Birmanie transportent du matériel dans le camp de réfugiés de Kutupalong, au Bangladesh. Au cours des 50 dernières années, plusieurs millions de personnes ont fui le conflit armé en Birmanie. Crédit: Kevin Malseed En 2017, la dernière vague de brutalité génocidaire des forces armées birmanes et des milices contre les Rohingyas a capté l’attention dans le monde. Assassinats, viols collectifs et atrocités documentés par le Kaladan Press Network et l’Arakan Project – homologues d’Inter Pares – ont fait quelque 10 000 morts et détruit près de 400 villages. Ils ont été environ 700 000 à fuir vers le Bangladesh, pour se joindre aux quelque 400 000 personnes parties lors des vagues précédentes de violence. Ce groupe de plus d’un million de Rohingyas réfugiés au Bangladesh s’ajoute aux millions de personnes dans le monde qui, dans les 50 dernières années, ont fui les campagnes brutales de contrôle du territoire et d’assimilation ethnique de la Birmanie. En matière de migration, on différencie souvent déplacement volontaire et déplacement forcé. Les réfugiés sont des gens comme les Rohingyas, forcés de quitter leur pays pour échapper aux persécutions ou à la guerre; les migrants sont des personnes comme celles qui forment les caravanes en Amérique centrale, à qui l’on attribue souvent des motivations purement économiques. Les lois sur l’immigration qui régissent la vie des migrants sont fondées sur cette distinction entre déplacement volontaire et forcé, mais la réalité est bien plus complexe. Ainsi, dans le cas de la caravane, la longue expérience d’Inter Pares dans la région démontre la gravité et l’omniprésence des menaces de violence envers les femmes en Amérique centrale, où le conflit armé a affaibli l’État, renforcé les gangs, généralisé la violence et créé une culture de l’impunité autour des crimes contre les femmes et les filles. Les activités industrielles du Nord mondialisé ont aussi miné la capacité de vivre pleinement et en sécurité dans les collectivités. L’exploitation des ressources naturelles par des sociétés du Nord a contribué à la pauvreté et aux conflits, entraînant la migration forcée d’un nombre incalculable de gens. La crise climatique est venue exacerber la situation : les désastres naturels déplacent aujourd’hui 60 % plus de personnes que les conflits armés. Même s’ils fuient un conflit armé, les gens ne sont pas forcément considérés comme des réfugiés. Ainsi, dans le sud-est de la Birmanie, certains ont été déplacés à l’intérieur des frontières et d’autres ont gagné l’un des camps de réfugiés en Thaïlande soutenus par le Border Consortium, homologue d’Inter Pares. Mais bien d’autres ont aussi franchi discrètement la frontière vers la Thaïlande comme migrants pour passer inaperçus, ce qui les prive de tout soutien officiel et du statut de réfugié. Pour contrer ces distinctions boiteuses, Inter Pares et ses homologues utilisent une approche holistique avec les personnes touchées par les conflits. En travaillant des deux côtés des frontières nationales et en abordant les causes premières des déplacements, notre but est d’appuyer les gens qui s’efforcent de bâtir une vie sécuritaire et épanouie, peu importe où ils vivent. Les lois sur l’immigration qui régissent la vie des migrants sont fondées sur cette distinction entre déplacement volontaire et forcé, mais la réalité est bien plus complexe. En savoir plus Cultiver l’espoir : l’histoire d’AbdoulayeJusqu’à ce qu’on les retrouve : à la recherche d’êtres chers sur la route du Nord Faire un commentaire You must have JavaScript enabled to use this form. Votre nom Comment * Sauvegarder Leave this field blank